L’hôtel Mama Shelter**** vient de jeter l’ancre à quelques encablures du Port de Nice. Son inauguration le 10 octobre 2024 a auréolé d’une ambiance festive et épicurienne l’arrivée du 11e établissement dans l’Hexagone et le 18e dans le monde.
Mama Shelter Nice : situé à l’angle du boulevard de Riquier et de la rue Beaumont, l’hôtel devient la nouvelle adresse urbaine festive et colorée de Nissa La Bella. Son inauguration s’est déroulé en présence de nombreuses personnalités dont Cédric Gobilliard, Directeur Général du Groupe Mama Shelter, de Serge Trigano, Président du groupe Mama Shelter et Florence Dupont, Directrice en charge des 80 salariés de l’établissement. Cet espace pionnier à Nice, installé sur trois immeubles, dont un, magnifique, en pierre de taille, est devenu depuis le mois de juin le cœur battant du quartier portuaire de la cinquième ville de France. Sur cinq niveaux, les 102 chambres, son restaurant, son rooftop avec piscine, bar et comptoir à pizzas, ses deux ateliers, ses deux studios, son patio et sa breakroom sont un refuge à la fois ouvert sur le tourisme mondial et tourné vers la population locale.
Une enseigne internationale
C’est en 2008 que commence l’aventure Mama Shelter avec l’ouverture du Mama Shelter Paris East. Suite à son rôle-clé dans la fondation du Club Med, la famille Trigano s’est lancée dans ce projet Mama Shelter. C’est la volonté de se battre pour le meilleur et rien d’autre qui les ont incité à dénicher des sites peu connus, dans des quartiers dotés d’une histoire captivante pour s’investir dans le projet de leur hôtel idéal. Depuis, Paris East, Marseille, Lyon, Bordeaux, Los Angeles, Belgrade, Prague, Toulouse, Lille, Londres, Paris West, Luxembourg, Rome, Lisbonne, Paris La Défense, Rennes, Dijon et Nice ont rejoint la grande famille des Mama. En 2014, la chaîne hôtelière internationale Accor s’est associée à Mama Shelter pour étendre ce concept et accueillir les voyageurs d’ici et d’ailleurs à travers le monde. Mama Shelter fait partie d’Ennismore, un groupe hôtelier créatif créé en 2021, ancré dans les cultures et les destinations, avec un portefeuille mondial de marques entrepreneuriales.
Des ouvertures à la pelle
Aujourd’hui, cette expansion ne montre aucun signe de ralentissement ainsi qu’en témoignent les ouvertures à venir : Dubaï, Singapour, Zurich, Liverpool, Amsterdam, Côme… Dans ces villes fières de la richesse de leur patrimoine mais également tournées vers le futur, le rêve d’une hospitalité à la fois généreuse et authentique va pouvoir à nouveau se concrétiser. Outre l’Europe, le groupe souhaite également développer ses hôtels en Asie (Bangkok, Sydney, Singapour…) et en Afrique (Tunis, Abidjan, Le Cap), sans oublier l’Amérique (Medellín, Mexico et un deuxième à Los Angeles). Au total, une trentaine d’hôtels devrait voir le jour d’ici trois ans. L’occasion pour Mama Shelter de développer un peu plus sa marque, faire connaître son univers et de booster les ventes de son e-shop où sont commercialisés des produits pour la maison, la literie ou encore des vêtements.
Un concept imaginé par la famille Trigano
A deux pas du Vieux-Port, de la vieille ville, de la ligne de tramway desservant l’aéroport international Nice Côte d’Azur et de la gare, Mama Shelter est un lieu de vie et de partage où règnent convivialité et créativité. Imaginé par le fondateur du Club Med, Serge Trigano et ses fils Jérémie et Benjamin, le quatre étoiles niçois propose à sa clientèle de s’enivrer d’une ambiance joyeuse, excentrique et unique.
Designer par Benjamin El Doghaïli
Plus qu’une adresse qui vend des nuitées à des prix abordables, cet hôtel-boutique, véritable vibration du bonheur et de la générosité, doit son ambiance au designer Benjamin El Doghaïli. Celui-ci s’est entouré d’artistes et d’artisans talentueux comme Lola Mercier ou Beniloys pour agencer les espaces à la manière du célèbre peintre Van Gogh peignant une nature morte.
Univers artistique et coloré
Sur cinq niveaux, les 102 chambres, divisées en quatre catégorie : Small, Medium, Large et XXL, se découvrent par de longs corridors où les pas épousent le moelleux des moquettes au gris bleuté, évoquant l’entrée dans la mer au crépuscule, le tout illuminé par les néons fluo du plafond. Dans les chambres, le blanc, si symptomatique des façades méditerranéennes, a été choisi par le designer comme fil conducteur pour créer un univers s’apparentant à une toile vierge de peintre. Taloché à même les murs, le blanc immaculé est égayé de rideaux ocre et de mobilier niçois du XIX siècle, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur.
Superbe clin d’œil au 7ème Art
Au centre de la pièce, un lit confortable et douillet permet de libérer de l’espace le long des murs et de circuler facilement. La lumière douce et chaleureuse diffusée par les lampes de chevet – dont les abat-jour sont en forme de masques représentant les personnages de la Warner Bros – sont un joli clin d’œil au monde du 7ème Art. Au sol, la moquette recouvrant le dallage des tomettes, une création de l’artiste Laureline Galliot, s’inspire largement des œuvres et couleurs du peintre Pierre Bonnard et de l’ambiance du Sud.
Palette barbouillée des peintres impressionnistes
Les carreaux des salle de bain, poudrés de rose comme les joues exposées au soleil, forment un échiquier infini du sol au plafond. Dans le reste de l’hôtel, le mariage des teintes tel que le jaune safran, l’ocre rouge, le bleu outremer, le vert olive niçois se dévoilent tel la palette barbouillée des peintres impressionnistes.
L’Italie en point de mire
Lieu de réception, le lobby illuminé par de grands miroirs est auréolé d’un plafond rappelant des motifs noirs en hommage à Matisse, ponctué d’appliques-oiseaux à la manière de Georges Braque. Sur le rooftop on est un peu en Italie ! Cyprès, oliviers, plantes endémiques, ventilos de plafond jaunes, bassin de nage, cabines-maisonnettes pour se changer, colonnes carrées en céramique verte et rouge, mosaïques, deck en gradin pour bronzer, toiles imprimées façon canisses, barbecue, four à pizzas, kiosque à glaces, composent cet univers bigarré où les apéros promettent d’être grandioses.
Cuisine gourmande
Comme ses aînées, le Mama Shelter régale ses clients avec générosité. Le restaurant agencé d’une cuisine centrale ouverte sur la salle, de miroirs obliques de colonnes de fonte enjolivés de fresques et de tables d’hôtes, apportent au lieu une atmosphère conviviale et décontractée. En salle ou sur le rooftoop, la carte concoctée à base de produits locaux par Jean Grezel, chef exécutif du Groupe Mama Shelter chargé de définir les concepts des 18 restaurants du Groupe Mama Shelter et Matthieu Devaux, second chef exécutif de Mama Shelter Nice, fleure bon la Méditerranée. Au menu : plats gourmands, planches à partager, salades vitaminées, cocktails signatures…
Brunch le dimanche
Les viandes, poissons et légumes sont cuits dans un four à bois, ce qui leur apporte un délicieux goût de fumé. Cerise sur le gâteau : en plus du menu du jour, les clients peuvent profiter d’un brunch dominical.
Les ateliers
Mama shelter n’a pas fait l’impasse sur ses fameux espaces de travail : 5 Ateliers, spacieux, confortables et modulables peuvent accueillir des réunions mais aussi des événements privés. En bref, le lieu est idéal pour un séminaire d’entreprise ou une fête entre amis. De 20 à 78 m², les espaces sont modulables et flexibles pour s’adapter aux demandes et sont agencés d’écrans TV, de systèmes de Clickshare, Wifi, bloc-notes… Certains Ateliers sont même communicants entre eux.
Nice, une destination de rêve pour Mama Shetler
Lors de l’inauguration de Mama Shelter, Cédric Gobillard, son directeur général a déclaré: « Nice, et plus particulièrement ce quartier assez populaire et en devenir est une destination de rêve pour nous. C’est la deuxième destination française en termes de visiteurs avec le deuxième plus gros aéroport de France. Ce qui nous permet de remplir les chambres de voyageurs et d’avoir du monde en restauration. Et Serge Trigano de rajouté « Dans les grandes villes, nous choisissons les quartiers en périphérie, c’est là que se concentrent les forces créatives. Dans les villes de taille moyenne, il faut être dans le cœur ».
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