Mission Polaire au Musée Océanographique de Monaco

Avec l’exposition Mission Polaire au Musée Océanographique de Monaco, parrainée par l’actrice Mélanie Laurent, devenez un vrai reporter et partez en mission au cœur de l’Arctique et de l’Antarctique grâce au cinq espaces thématiques répartis sur deux niveaux et sa salle immersive.

mission polaire musée océanographique monaco

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Mission Polaire: devenez un vrai reporter et partez en mission au cœur des pôles ! L’exposition Mission polaire qui se déroule au Musée océanographique de Monaco depuis le 4 juin 2022 pour une durée de 2 ans, vous fera découvrir sur 650 m2, les pôles et leur faune par le biais des hommes et des femmes qui les peuplent et les explorent. Les objets, les documents, les contenus numériques et les dispositifs immersifs complètent cette expérience à 360°. Cette exposition glaciale qui prend ses quartiers en début d’été dans la Principauté Monégasque, succédant à celle sur les massifs coralliens, vous propulsera au cœur de l’Arctique et de l’Antarctique où les grands enjeux de ces terres de l’extrême, lointaines et pourtant essentielles pour le climat mondial et les effets dévastateurs sur sa biodiversité, sont décryptés en cinq thématiques.

Mélanie Laurent, marraine l’exposition « Mission Polaire » @YesICannes.com

Le Prince Albert Ier fondateur du Musée océanographique

Banquise et ours blanc au Nord, manchots empereurs et immenses déserts de glace au Sud ! Décors naturels époustouflants, l’Arctique et l’Antarctique sont surtout des moteurs indispensables à l’équilibre de la planète. Les territoires de l’extrême sont inscrits depuis plus d’un siècle dans l’ADN de Monaco. Cet intérêt a débuté à la fin du XIXe siècle, avec le Prince Albert Ier, explorateur visionnaire et fondateur du Musée océanographique de Monaco, puis aujourd’hui avec S.A.S. le Prince Albert II, seul chef d’État à avoir rejoint les deux pôles.

SAS Prince Albert II de Monaco au centre @YesICannes.com

Mélanie Laurent, marraine de l’exposition

La bonne santé de ces sites extrêmes, mise en danger depuis plusieurs années par la pollution et le réchauffement climatique, n’échappe pas à Mélanie Laurent. Fervente protectrice de l’environnement et marraine de l’exposition, l’actrice veux faire entendre sa voix et déclare: “A travers cette exposition, chacun d’entre nous est invité à devenir l’observateur privilégié de l’incroyable beauté des mondes polaires, mais aussi un témoin averti de leur grande fragilité. Car l’avenir des pôles est aussi le nôtre et celui des générations futures. »

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Devenez grand reporter avec carte de presse

Surprise ! votre billet d’entrée est une carte de presse. À travers cette nouvelle exposition, vous deviendrez reporter de presse et serait le témoin des mécanismes et des phénomènes qui se produisent aux extrémités de la Terre. Tout au long du parcours, à l’aide de votre précieux sésame/carte de presse, vous pourrait déclencher des contenus supplémentaires. Au terme de la visite, vous livrerez votre reportage à la borne interactive mise à votre disposition !

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Soutenir les actions menées pour la protection des pôles

Vous serez également invité à vous engager au côté de l’Institut océanographique et de la Fondation Prince Albert II de Monaco, en soutenant activement les actions menées pour la protection des pôles, et tout particulièrement la création de nouvelles Aires Marines Protégées dans les océans polaires. Pour le choix de l’article et de votre couverture, ce sera à vous de choisir, car le grand reporter c’est vous !

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Que le grand voyage à travers les pôles commence !

Lorsque vous pénétrez dans l’enceinte de l’exposition Mission polaire, laissez-vous glisser dans la peau d’un reporter envoyé en Arctique, ou en Antarctique. Dès vos premier pas dans le salon d’honneur, vous serez entouré des grands noms de l’exploration d’hier et d’aujourd’hui: Jean Malaurie, Jean-Louis Étienne ou Frederik Paulsen en passant par des pionniers tels que Jean-Baptiste Charcot ou encore Matthew Henson; cet espace propose un face-à-face avec les grands noms de l’exploration polaire. On y découvre leurs découvertes et leurs travaux ayant contribué à une meilleure connaissance des pôles.

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Plongez dans le quotidien des Inuits et de leurs traditions

En continuant un peu plus votre exploration, vous pénétrerez dans le monde des Inuits grâce à l’incroyable collection de Jean Malaurie, l’explorateur qui a consacré sa vie aux peuples de l’Arctique. Dans une scénographie reproduisant un environnement de glace et son traditionnel igloo, découvrez le mode de vie et les traditions Inuits ainsi que les objets de leur quotidien (vêtements, masque de danse, objets d’arts ou de croyances). Cet espace témoigne également des menaces que subissent ces populations face aux changements climatiques et qui sont sans cesse bousculées par la modernité.

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Percer les secrets des pôle

Dans le salon Oceanomania, percez les secrets du Pôle Nord et du Pôle Sud et apprenez leur différence. La vie foisonnante quand reviennent les beaux jours en Arctique et celles plus concentrées sur les côtes en Antarctique. L’ours blanc au nord et le manchot au sud. Comprendre leur fonctionnement, prendre conscience des immenses bouleversements qui s’y opèrent en raison du changement climatique, tel est également l’enjeu distillé dans ce troisième espace.

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Un enjeu pour l’équilibre climatique de la planète

Une occasion également de prendre pleinement conscience du rôle capital que joue les deux extrêmes dans l’équilibre climatique de la planète. En exposition au Musée Océanographique de Monaco, les animaux naturalisées, provenant de récoltes scientifiques de la fin du XIX siècle ne manqueront pas d’attirer votre attention.

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Dispositif immersif et interactif inédit

Dans le prolongement de l’exposition, grâce à un dispositif immersif et interactif inédit, vous voilà propulsé, comme si vous y étiez, au Pôle Nord et au Pôle Sud ! La beauté sauvage et grandiose de ces contrées glacées prend toute sa dimension.

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Voyager en immersion en compagnie d’animaux marins

Voyagez avec une ourse polaire et ses oursons et plongez sous la banquise en compagnie d’animaux marins comme les phoques, les bélugas, les baleines, les orques, les éléphants de mer se prélassant sur les côtes ou encore les manchots empereur protégeant leurs petits. Cette féérie s’achèvera dans le rêve des aurores boréales. Au-delà de l’émerveillement, cette projection rappelle, par une voie off, la fragilité de cet écosystème et les menaces qui pèsent sur ces espèces.

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Comprendre les défis de la recherche scientifique polaire

Maintenant que vous connaissez parfaitement les pôles, découvrez les menaces et périls qui pèsent sur ces terres lointaines et glacées. En effet, que serait la connaissance sur les pôles si la science n’y était pas partie prenante depuis de nombreuses années ? Trois modules vous permettront ensuite de faire un état plus approfondi de la situation grâce aux connaissances actuelles sur le climat et les conséquences de son réchauffement, les impacts du réchauffement climatique sur la biodiversité et, enfin, les conséquences sur l’Homme.

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Deux pôles, deux continents

Ont les croit similaires, pourtant près de 20 000 kilomètres séparent l’Arctique et l’Antarctique, deux « bouts du monde » situés aux antipodes. Si ces deux régions du pôle Nord et du pôle Sud se ressemblent, elles offrent à leurs visiteurs un spectacle naturel unique et très différent. La première différence entre l’Arctique et l’Antarctique est géologique. L’Arctique est une mer de glace entourée de terre, située aux plus hautes latitudes de l’hémisphère Nord. Cette région aux limites floues s’étend sur six pays bordant l’océan Arctique : le Canada, les États-Unis (Alaska), le Danemark (Groenland), la Russie, la Norvège et l’Islande. De son côté, l’Antarctique est un continent à part entière situé dans l’hémisphère Sud et recouvert d’une calotte glaciaire à près de 98 %. On y trouve des montagnes pouvant culminer jusqu’à 4 900 mètres d’altitude. Cette terre n’appartient à aucun pays, même si elle abrite plusieurs dizaines de bases scientifiques.

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Le pôle sud inaccessible avant l’ère moderne

Le mot Arctique provient du grec arktos, signifiant ours, en référence à la constellation de la Grande Ourse visible dans l’hémisphère nord. Au pôle Nord vivent de nombreuses populations autochtones. Les Inuits au nord de l’Amérique, les Sames en Europe du Nord ou encore les Yakoutes aux confins de la Sibérie peuplent ce vaste territoire depuis bien longtemps. Chacune à leur manière, ces populations composent avec une nature brute et sauvage. Inaccessible avant l’ère moderne, L’Antarctique qui vient du grec antarkticos signifie « opposé à l’Arctique ». Inaccessible avant l’ère moderne, le pôle sud est resté vierge de toute présence humaine jusqu’en 1821. Aujourd’hui encore, le continent austral ne compte pas d’habitants permanents mais des équipes scientifiques régulièrement renouvelées.

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Températures australes

Au pôle Nord, les températures sont plutôt irrégulières, avec des thermomètres particulièrement rigoureux en février. En Norvège ou en Amérique du Nord il n’est pas rare de passer au-dessus des 10°C pendant les mois les plus chauds. En Antarctique le mercure peut sans problème friser les -55°C, en particulier dans les zones montagneuses. C’est d’ailleurs sur le continent glacé qu’a été relevée la température naturelle la plus basse de la planète: -89,2°C !

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Pôle nord, terre sacrée des ours polaires

La région du nord est la terre sacrée de l’ours polaire, l’un des plus grands prédateurs terrestres. Renards polaires, caribous, chouettes harfangs ou encore bœufs musqués : une faune splendide mais peureuse, présence humaine oblige. En Antarctique, la faune marine est dotée d’otaries, de baleines, de phoques, d’éléphants de mer, de manchots… On comptabilise en outre une quarantaine d’espèces d’oiseaux vivant sur la zone australe. Les contacts avec les humains étant à la fois récents et extrêmement limités, les animaux au pôle Sud sont moins peureux.

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Réchauffement climatique et pollution

Malgré leur beauté inégalable et la richesse de leur faune, ces sanctuaires glacés sont au centre de l’attention et de l’actualité qui rapporte régulièrement les signes visibles des changement induits par la crise climatique. Le rapport spécial du GIEC sur l’océan et la cryosphère (SROCC) publié en septembre 2019 souligne la nécessité de mieux comprendre l’étendue et la portée des changements dans les régions polaires ainsi que leurs incidences sur les systèmes sociaux, économique et environnementaux mondiaux.

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Fondation Prince Albert II de Monaco

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Plaidoyer sur les questions polaires

La FPA2 , acteur reconnu pour son sérieux et sa légitimité se mobilisera pour une plus grande influence et un meilleur plaidoyer sur les questions polaires. L’initiative est conçue comme un effort programmer sur quatre ans (2022-2025). Il cible les domaines d’intérêt traditionnel de la fondation, en accord avec son potentiel d’influence et de rassemblement : la science, les politiques, le renforcement des capacités et l’action de conservation.

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L’océan Arctique pollué par le plastique

L’océan Arctique n’est plus un sanctuaire depuis longtemps, et il est désormais pollué par nos déchets. Une étude inédite, publiée dans la revue Sciences advances, montre que certaines zones sont envahies de débris de plastique flottants, principalement dans les mers du Groenland et de Barents, au-dessus du Cap Nord. Outre cette grande quantité plastique circulant autour des banquises, les vents et courants océaniques transportent également toutes sortes de matières polluantes. Ces déchets flottants sont une plaie environnementale, notamment pour les animaux qui les ingèrent ou qui y restent coincés. Lors d’une expédition au pôle Sud en 2010, les scientifiques de la goélette polaire Tara avaient collecté jusqu’à 42 826 morceaux de plastique par km 2 !

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Diminution d’émissions d’halocarbures

Pourtant, une première avancée a déjà été gagnée puisque depuis l’interdiction de l’utilisation du plomb dans l’essence, ce polluant est désormais bien moins présent dans les neiges et les glaces de l’Arctique. Le « trou » dans la couche d’ozone devrait petit à petit se résorber avec la forte diminution des émissions d’halocarbures, des composés chimiques qui contiennent du chlore et du brome et qui sont à l’origine de la destruction de l’ozone dans la stratosphère. Toutefois, un autre facteur joue sur la diminution de la couche d’ozone: les températures dans la basse stratosphère. Or, les conditions météorologiques du printemps 2020 on entraîné l’apparition d’un « trou » record en Arctique.

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Impact écologique les pôles

Aujourd’hui, pour analyser l’impact écologique des pôles, de nombreuses missions scientifiques ont accès à des voies devenues navigables à mesure que le réchauffement climatique fait fondre la banquise. Si cette fonte venait à augmenter la teneur de l’atmosphère en CO2 au niveau mondial, cela aurait des effets concrets sur la faune, la flore et le quotidien des populations locales puisque leur mode de vie est uniquement basé sur la glace. Si elle fond plus vite qu’avant, leur existence et leur culture en seront forcément affectées.

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The Polar Initiative

Les régions polaires sont désormais une zone géographique prioritaire pour la Fondation Prince Albert II de Monaco depuis sa création. Au travers des projets soutenus, la FPA2 a construit un vaste réseau de partenaires travaillant sur cette problématique. En outre, portées par l’engagement personnel des Princes Souverains, les institutions monégasques se sont impliquées sur les thématiques polaires, s’appuyant sur les explorations scientifiques menées par le Prince Albert Ier et les expéditions aux deux pôles de S.A.S. le Prince Albert II. L’initiative est conçue comme un effort programmatique de quatre ans (2022-2025) et cible les domaines d’intérêt traditionnel de la fondation, en accord avec son potentiel d’influence et de rassemblement : la science, les politiques, le renforcement des capacités et l’action de conservation.

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Institut océanographique de Monaco

L’Institut océanographique, Fondation Albert Ier, Prince de Monaco a été fondé en 1906 par le prince Albert Ier, navigateur passionné et visionnaire. Reconnue d’utilité publique, la Fondation agit depuis plus d’un siècle en faveur de l’Océan. Pour le faire connaître, aimer et protéger, elle fédère les acteurs politiques, scientifiques, économiques, associatifs et le grand public. Grâce à l’appui de ses deux établissements que sont le Musée océanographique de Monaco et la Maison de l’Océan à Paris, l’Institut océanographique est porteur de nombreux projets sur la scène nationale et internationale (colloques, expositions, programmes pédagogiques…) visant à promouvoir une gestion durable de l’Océan.

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Navire amiral de la fondation Albert 1er

Le Musée océanographique, adossé au mythique Rocher de Monaco, est le « navire amiral » de la Fondation et sensibilise plus de 650 000 visiteurs par an. Au-delà de son architecture remarquable, il se distingue par son aquarium de renommée mondiale, ses expositions-événements et l’alliance de l’art et de la science. Lieu de culture et d’échange, où se rencontrent les expériences autour de la protection de l’Océan, le Musée océanographique organise et accueille des colloques d’envergure internationale.

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Les partenaires de l’exposition

La Fondation Prince Albert II de Monaco, le Gouvernement Princier, Biotherm, CFM Indosuez, Wealth Management, Rlox, Fondation Paul Harmel, Venturi, Science et Vie Junior, Science et Vie Découvertes, le Figaro Magazine, Beaux Arts Magazine et ARTE.

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Horaire d’ouverture

Ouvert tous les jours (sauf le week-end du Grand Prix de Formule 1 et le 25 décembre), de 10 h à 18 h Janvier / Février / Mars / Octobre / Novembre / Décembre ◉ De 10 h à 19 h Avril / Mai / Juin / Septembre ◉ De 9 h 30 à 20 h Juillet / Août.